Le détatouage est l’opération qui consiste à ôter un ou plusieurs tatouages de la peau. Des milliers de personnes ôtent leurs tatouages au bout de quelques mois, voire au bout de quelques années. Certains qui s’étaient fait tatouer un nom ou un cœur en hommage à leurs amoureux ne voient plus l’utilité du dessin quand ils ont rompu. Mais très souvent, le tatouage représente un handicap dans certains milieux professionnels, et des jeunes qui veulent s’y insérer se retrouvent dans l’obligation d’ôter les tatouages trop voyants, extravagants ou obscènes. L’opération de détatouage est plus ou moins difficile en fonction du type de tatouage apposé. On compte actuellement trois principaux types de tatouages. Le tatouage aux galets et au henné qui sont des tatouages temporaires, et le tatouage permanent aux aiguilles. Les deux premiers types de tatouages ne sont pas très difficiles à ôter. Généralement, les tatouages aux galets peuvent être lavés à l’eau. Quand ils sont suffisamment et régulièrement frictionnés, ils finissent par disparaître. Le détatouage du henné en revanche réclame plus de soins. Le henné est extrêmement résistant, et il ne disparaît que progressivement. Par conséquent, les solutions alcoolisées qu’on conseille souvent ont un effet très limité sur le henné. Il faut laisser le temps au dessin de disparaître de lui-même. Par contre, les tatouages permanents sont un véritable casse-tête. Par le passé, il était possible d’ôter les tatouages au moyen de la dermabrasion et de la chirurgie. La dermabrasion consiste à ôter le tatouage en brûlant légèrement la surface du dessin de façon à le faire disparaître. En chirurgie, il était possible d’ôter la partie sur laquelle le dessin a été appliqué et de remplacer la peau en y greffant une autre. Ces méthodes ont eu un effet très limité, et le montant prohibitif exigé pour ces opérations en décourageait plus d’un. Progressivement, les avancées technologiques et scientifiques ont mis au goût du jour des méthodes moins complexes et plus accessibles au grand public. Le détatouage au laser a ainsi finit par constituer la méthode de détatouage la moins dangereuse pour ceux qui veulent ôter leurs tatouages.
Mais le laser a ses limites, et elles sont nombreuses. Le laser fonctionne très bien sur certains types de tatouages. On peut facilement ôter ceux qui sont rouges, noirs, ou ceux qui ne sont pas profondément ancrés dans la peau. L’avantage, c’est que même les méthodes chirurgicales présentées plus haut avaient du mal à réparer ce type de tatouages. En revanche, le laser n’aura presque aucun effet sur les tatouages verts et bleus. Ces couleurs sont très difficiles à enlever, surtout quand elles sont faites sur une surface très étendue de la peau. Les effets du tatouage peuvent s’estomper avec plus ou moins de succès en fonction de l’expérience du médecin. De plus, le détatouage permanent dépend du type de laser utilisé. Actuellement, le meilleur laser est le ND Yag O-Switch qui traite les pigments tatoués de la peau de l’intérieur. Le laser Alexandrite a aussi des effets similaires, mais il ne serait pas aussi performant que le précédent. Enfin, lorsque ces deux lasers n’ont presque pas eu d’effets sur les tatouages, certains spécialistes proposent en dernier recours le laser au CO2. Ce dernier type de laser élimine les cellules absorbantes de l’encre. Le médecin et le client doivent respecter quelques règles pour augmenter les chances de réussite de l’opération. Par exemple, le patient ne doit pas avoir bronzé la zone à travailler avant l’opération. Et deux heures avant l’application du laser, le spécialiste devrait appliquer une crème anesthésiante pour limiter la douleur, surtout lorsque les tatouages sont étendus.
Les solutions de détatouage sont donc accessibles, et elles dépendent surtout du type de tatouage. Il est relativement simple d’ôter les tatouages temporaires, mais l’option du laser est la seule qui fonctionne sur certains tatouages permanents. Après chaque opération, le médecin délivre un devis qui doit être payé. Ce devis tient compte du degré de difficulté et de l’étendue du tatouage. Devant les difficultés liées à cette opération, il vaut peut-être mieux réfléchir longuement avant de se faire tatouer.
Mais le laser a ses limites, et elles sont nombreuses. Le laser fonctionne très bien sur certains types de tatouages. On peut facilement ôter ceux qui sont rouges, noirs, ou ceux qui ne sont pas profondément ancrés dans la peau. L’avantage, c’est que même les méthodes chirurgicales présentées plus haut avaient du mal à réparer ce type de tatouages. En revanche, le laser n’aura presque aucun effet sur les tatouages verts et bleus. Ces couleurs sont très difficiles à enlever, surtout quand elles sont faites sur une surface très étendue de la peau. Les effets du tatouage peuvent s’estomper avec plus ou moins de succès en fonction de l’expérience du médecin. De plus, le détatouage permanent dépend du type de laser utilisé. Actuellement, le meilleur laser est le ND Yag O-Switch qui traite les pigments tatoués de la peau de l’intérieur. Le laser Alexandrite a aussi des effets similaires, mais il ne serait pas aussi performant que le précédent. Enfin, lorsque ces deux lasers n’ont presque pas eu d’effets sur les tatouages, certains spécialistes proposent en dernier recours le laser au CO2. Ce dernier type de laser élimine les cellules absorbantes de l’encre. Le médecin et le client doivent respecter quelques règles pour augmenter les chances de réussite de l’opération. Par exemple, le patient ne doit pas avoir bronzé la zone à travailler avant l’opération. Et deux heures avant l’application du laser, le spécialiste devrait appliquer une crème anesthésiante pour limiter la douleur, surtout lorsque les tatouages sont étendus.
Les solutions de détatouage sont donc accessibles, et elles dépendent surtout du type de tatouage. Il est relativement simple d’ôter les tatouages temporaires, mais l’option du laser est la seule qui fonctionne sur certains tatouages permanents. Après chaque opération, le médecin délivre un devis qui doit être payé. Ce devis tient compte du degré de difficulté et de l’étendue du tatouage. Devant les difficultés liées à cette opération, il vaut peut-être mieux réfléchir longuement avant de se faire tatouer.