Il y a en effet deux modes d'apprentissage qui sont proposés en France aux élèves parachutistes civils. Le premier est la formation dite traditionnelle. Elle se fait très progressivement en commençant par des sauts en ouverture automatique à des hauteurs variant de 1.000 ou 1.200 mètres, ensuite suivent les « poignées témoin » qui sont des sauts pendant lesquels les élèves font le geste de tirer sur la poignée d'ouverture de leurs parachutes. Ils font simplement le geste puisqu'en réalité c'est la sangle d'ouverture automatique reliant le parachute à l'avion qui l'ouvre. Ainsi, même si l'élève parachutiste fait un geste incorrect, la voilure s'ouvre quand même. Il faut que les élèves réussissent 2 sauts consécutifs en poignée témoin avant qu'ils soient autorisés à sauter en ouverture manuelle et à des altitudes de plus en plus grandes. Ils procèderont ainsi progressivement jusqu'à atteindre l’altitude de 4.000 mètres.
A côté de la formation dite traditionnelle nous avons la PAC, entendez par là Progression Accompagnée en Chute. Au cours de cette formation, les élèves dès leur premier saut sautent en chute libre à 4.000 mètres d'altitude. Toute fois, ils sont accompagnés pendant ce premier saut de deux moniteurs chargés de surveiller et de corriger leurs positions pendant la chute. Un moniteur est supprimé pour n'en laisser qu'un seul pendant les 5 sauts suivants, l'objectif étant d'aboutir à un saut en solo au 7e saut. Comparée à la formation traditionnelle, la formation PAC prend nettement moins de temps et offre la possibilité de découvrir les sensations de la chute libre dès le premier saut. Toute fois, son coût est beaucoup plus élevé pour la simple raison qu'en formation traditionnelle on saute à des altitudes moindres et le moniteur prend en charge plusieurs élèves à la fois. Les sauts effectués en formation traditionnelle sont donc moins chers, cependant il en faut nettement plus pour atteindre l'autonomie. Mais pour toutes ces deux formations, il faut effectuer 15 sauts en chute avant d'obtenir le brevet A. On ne prend pas en compte les sauts en ouverture automatique (OA), la chute libre étant considérée dans ce cas comme trop courte.
Si le parachutisme vous tente et que vous vous demandiez s'il y avait une formation pour ça, et bien, vous avez la réponse à votre question. Vous avez le choix entre la formation traditionnelle moins coûteuse mais aussi moins rapide et la formation PAC beaucoup plus rapide mais un peu cher. Chacune de ces deux méthodes a ses adeptes, le résultat final est toute fois le même: atteindre l'autonomie en chute libre.
A côté de la formation dite traditionnelle nous avons la PAC, entendez par là Progression Accompagnée en Chute. Au cours de cette formation, les élèves dès leur premier saut sautent en chute libre à 4.000 mètres d'altitude. Toute fois, ils sont accompagnés pendant ce premier saut de deux moniteurs chargés de surveiller et de corriger leurs positions pendant la chute. Un moniteur est supprimé pour n'en laisser qu'un seul pendant les 5 sauts suivants, l'objectif étant d'aboutir à un saut en solo au 7e saut. Comparée à la formation traditionnelle, la formation PAC prend nettement moins de temps et offre la possibilité de découvrir les sensations de la chute libre dès le premier saut. Toute fois, son coût est beaucoup plus élevé pour la simple raison qu'en formation traditionnelle on saute à des altitudes moindres et le moniteur prend en charge plusieurs élèves à la fois. Les sauts effectués en formation traditionnelle sont donc moins chers, cependant il en faut nettement plus pour atteindre l'autonomie. Mais pour toutes ces deux formations, il faut effectuer 15 sauts en chute avant d'obtenir le brevet A. On ne prend pas en compte les sauts en ouverture automatique (OA), la chute libre étant considérée dans ce cas comme trop courte.
Si le parachutisme vous tente et que vous vous demandiez s'il y avait une formation pour ça, et bien, vous avez la réponse à votre question. Vous avez le choix entre la formation traditionnelle moins coûteuse mais aussi moins rapide et la formation PAC beaucoup plus rapide mais un peu cher. Chacune de ces deux méthodes a ses adeptes, le résultat final est toute fois le même: atteindre l'autonomie en chute libre.