Nous allons ici essayer de vous faire une description du parachute employé en sport, vu de façon générale. Ainsi, un parachute dans ce cadre est généralement composé pour commencer d'un sac-harnais qui est un sac contenant un harnais et les voiles, et à l'intérieur duquel s'installe le parachutiste. On a ensuite les deux voiles qui comprennent en fait une voilure principale et une de secours reliées toutes les deux aux élévateurs par les suspentes. Un système de libération qu'on appelle système trois anneaux relie les élévateurs principaux au sac-harnais par, et les élévateurs de secours quant à eux font partie intégrante du harnais. Revenons pour dire que le système trois anneaux sert à désolidariser le harnais de la voilure principale afin que la voilure de secours puisse fonctionner librement s’il le faut. Soulignons à ce niveau que la voilure dite « principale » est celle là même qui se trouve en bas du sac-harnais et que le parachutiste peut ouvrir normalement. Après chaque saut le parachutiste la plie lui-même.
En plus de la voilure principale on a donc la voilure de secours qui est en fait une seconde voile qui sert lorsque la voile principale est défaillante ou ne s'ouvre pas. Cela peut être du par exemple à une autorotation rapide, à une déchirure de la voile ou encore à une suspente cassée. La voilure de secours sert aussi lorsque l’altitude ne permet pas d’ouvrir son parachute principal, ce cas peut se présenter par exemple dans le cadre d'une évacuation d'avion. Il est en effet important de savoir qu'une voilure principale a un « enfoncement » d'environ 200 mètres. L'enfoncement est la différence d'altitude entre l'action-poignée du parachutiste et l’instant de déploiement total de la voile. Il est impératif, pour qu'elle puisse être autorisée d'emploi, que la voilure de secours ait un enfoncement de moins de 90 mètres. Par ailleurs, en cas de perte de la notion d'altitude par le parachutiste ou s’il perd conscience suite à un choc ou un malaise par exemple, l'ouverture de la voilure de réserve peut être déclenchée par un déclencheur automatique. Le pliage de la voilure de secours étant en outre très complexe, on doit le faire avec beaucoup de soin, cela doit être fait de préférence par un plieur qualifié. Le dernier élément composant un parachute que nous allons citer ici est le déclencheur de sécurité qui à pour rôle d’enclencher l’ouverture automatique du parachute de secours si le parachutiste est par exemple toujours en chute à une certaine altitude. Le déclencheur de sécurité a donc la capacité de mesurer l'altitude et la vitesse de descente, un système de variobaromètre électronique (système Argus, Vigil ou Cypres) ou mécanique (système FXC) est au centre de cela.
Vous venez ainsi de voir l'essentiel des éléments qui composent un parachute. Comme vous pourrez le constater, tout est mis en œuvre pour qu'il ait le moins de risque possible pour le parachutiste. Les dispositifs mis en place sont très efficaces, d'où la rareté des accidents lors des sauts en parachute.
En plus de la voilure principale on a donc la voilure de secours qui est en fait une seconde voile qui sert lorsque la voile principale est défaillante ou ne s'ouvre pas. Cela peut être du par exemple à une autorotation rapide, à une déchirure de la voile ou encore à une suspente cassée. La voilure de secours sert aussi lorsque l’altitude ne permet pas d’ouvrir son parachute principal, ce cas peut se présenter par exemple dans le cadre d'une évacuation d'avion. Il est en effet important de savoir qu'une voilure principale a un « enfoncement » d'environ 200 mètres. L'enfoncement est la différence d'altitude entre l'action-poignée du parachutiste et l’instant de déploiement total de la voile. Il est impératif, pour qu'elle puisse être autorisée d'emploi, que la voilure de secours ait un enfoncement de moins de 90 mètres. Par ailleurs, en cas de perte de la notion d'altitude par le parachutiste ou s’il perd conscience suite à un choc ou un malaise par exemple, l'ouverture de la voilure de réserve peut être déclenchée par un déclencheur automatique. Le pliage de la voilure de secours étant en outre très complexe, on doit le faire avec beaucoup de soin, cela doit être fait de préférence par un plieur qualifié. Le dernier élément composant un parachute que nous allons citer ici est le déclencheur de sécurité qui à pour rôle d’enclencher l’ouverture automatique du parachute de secours si le parachutiste est par exemple toujours en chute à une certaine altitude. Le déclencheur de sécurité a donc la capacité de mesurer l'altitude et la vitesse de descente, un système de variobaromètre électronique (système Argus, Vigil ou Cypres) ou mécanique (système FXC) est au centre de cela.
Vous venez ainsi de voir l'essentiel des éléments qui composent un parachute. Comme vous pourrez le constater, tout est mis en œuvre pour qu'il ait le moins de risque possible pour le parachutiste. Les dispositifs mis en place sont très efficaces, d'où la rareté des accidents lors des sauts en parachute.